vendredi 30 mai 2014

Voisinart


30mai2014

   Je ne sais pas très bien comment fonctionne ce blog - j'ai l'intention d'écrire une page ou un article destiné à l'expression d'un nouvel art : l'art du voisinage : le voisinart. Je le destine à la civilisation Trantor - c'est à dire une planète du centre de la Galaxie que nous habiterons à mesure où nous saurons vivre en communauté serrée. Parce qu'après le tissus des forêts vierges et les courants des fonds marins où les espèces vivaient à l'aise on s'est mis à la cage aux poulets.
   Le centre de la Galaxie est le lieu d'un art majeur : vivre ensemble entassés - ça donne un corps plus compact que con si on sait bien faire. Le pacte qu'il faut faire se tient entre la musique et la poésie. Lorsque Voisin vous invite à partager sa musique noctambule des trois heures du matin en espérant que ça vous fera plaisir, il est courtois d'embellir sa demeure de poésies que les longues heures d'insomnies dans votre lit tandis qu'ils dansent vous inspirent. J'ai donc commencé aujourd'hui avec mon premier poème. La photo en bicolore parallèle est floue dans le couloir sombre et je la recopie :

La musique c'est pas fait pour dormir


 

   Pour l'analyse sémantique - c'est la Sémantique Générale de la science fiction de VonVogt qui peut servir à comprendre. Elle procède par le paradoxe que la civilisation forge en nous faisant souffrir à mesure où nous développons des instruments plus puissants, plus automatiques. La musique automatique et les bassafons en sont un bon exemple - mais elle est un progrès dans la mesure où elle permet de faire la fête à côté de la Syrie sous les bombes ; elle est beaucoup moins cruelle aussi. La poésie aussi déchire l'atmosphère en apportant de grand bols d'airlu. L'airlu cinogène porte l'opéra de Madame Sans-Gêne de 1915 à 2014 mais.. je ne voudrais pas être trop ésotérique pour commencer. Pour l'instant donc, je recommande à ma civilisation d'allier la poésie à la musique ; et je destine ce blog à développer le livret de cette grande modernisation du Puy-en-Velay qui puisse comme il s'y verrait bien, éclairer du monde nos jours.. et nos nuits.
http://www.psybakh.net/2013/htm/20130107085200_flog-38.htm#20140530133400



vendredi 15 juillet 2011



si on sait lire l'anglais - extrait :
All knowledge to all
* The search for knowledge is sacred
* The circulation of knowledge is sacred
* The act of copying is sacred.

On dira ça extravagant - et on prend un peu de recul pour rire et
en prenant du recul on se souvient :

To Know - c'est attaché à la Gnose ; grosso-modo voulant dire "le savoir," la connaissance.
La Gnose était sérieusement sacrée pour les gnostiques
(une vieille histoire de dissidence les gnostiques.. plutôt persécutés par les dogmatiques)

Et puis on se souvient aussi :
La divinité du monothéisme solaire du nom d'Hermétisme était le Noûs.
Ce qui signifiait la Gnose, la connaissance, Knowledge.
Le Noûs était à l'époque le dieu solaire, seul et unique du monothéisme et signifiait
le savoir collectif, 'nous' pour ne pas dire la démocratie,
à une époque où la circulation et la liberté du savoir étaient sacrées.

Le Copimisme, Kopimisme, somme toute c'est vieillot, banal, désuet
Est-ce que même ça serait de la cyber-dissidence
réputée opposée à l'Internet civilisé des grande murailles et des petits chefs de guerre?

DWT 2011715175300
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jeudi 7 octobre 2010

réflexions ultérieures 01

Il n'y a pas de psychanalyse sans intelligence artificielle (je l'écris /ia/) - mais sans psychanalyse l' /ia/ n'est pratiquement rien non plus.

La psychanalyse se montre par trois degrés : un semblant (voir forum en exemple), un rapport négocié à l' /ia/ (WoW par CS) qui refoule sa psychanalyse, c'est à dire sa signification - troisièmement ce qu'on pourra appeler un rapport absolu à la cybernétique.

dimanche 3 octobre 2010

vendredi 1 octobre 2010

Mémoire psychique

La corporéité réclame le facteur psychique à sa connaissance ; ce
facteur n'est délivré que par absolu.